Les paroles de 142 chansons :: Brel Jacques
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КАТЕГОРИИ КНИГПОСЛЕДНИЕ ОТЗЫВЫ О КНИГАХМихаил (19.04.2017 - 06:11:11) Антихрист666 (18.04.2017 - 21:05:58) Ладно, теперь поспешили вы... (18.04.2017 - 20:50:34) Роман (18.04.2017 - 18:12:26) АНДРЕЙ (18.04.2017 - 16:42:55) СЛУЧАЙНОЕ ПРОИЗВЕДЕНИЕНе жди, в моих глазах печали нет. 30.06.10 - 05:35 Хотите чтобы ваше произведение или ваш любимый стишок появились здесь? добавьте его! |
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Mon ami est une valeur sûre Qui dit souvent, sans prétention Qu'à la minceur des épluchures On voit la grandeur des nations Subséquemment, subséquemment Subséquemment que j'comprends pas Pourquoi souvent, ses compagnons L'appellent L'appellent Caporal casse-pompon Mon ami est un doux poète Dans son jardin, quand vient l'été Faut le voir planter ses mitraillettes Ou bien creuser ses petites tranchées Mon ami est homme plein d'humour C’est lui, c’est lui qui a trouvé ce bon mot Que je vous raconte à mon tour: "Ich slaffen at si auuz wihr prellen zie" Subséquemment, subséquemment Subséquemment que j'comprends pas Pourquoi souvent, ses compagnons L'appellent L'appellent Caporal casse-pompon Mon ami est un doux rêveur Pour lui Paris, c'est une caserne Et Berlin, un petit champ de fleurs Qui va de Moscou à l'Auvergne Son rêve: revoir Paris au printemps Redéfiler à la tête de son groupe En chantant comme tous les vingt-cinq ans: "Baisse ta gaine Gretchen que je baise ta croupe (ein, zwei)" Subséquemment, subséquemment Subséquemment que nous ne comprenons Comment nos amis les Franzosen Ils osent, ils osent l'appeler Caporal casse-pompon (ein, zwei) Ces gens-là Paroles et Musique: Jacques Brel 1966 autres interprètes: Ange (1977), Michel Delpech, Noir Désir (1998) D’abord, d’abord, y a l’aîné Lui qui est comme un melon Lui qui a un gros nez Lui qui sait plus son nom Monsieur tellement qu'y boit Tellement qu'il a bu Qui fait rien de ses dix doigts Mais lui qui n'en peut plus Lui qui est complètement cuit Et qui s'prend pour le roi Qui se saoule toutes les nuits Avec du mauvais vin Mais qu'on retrouve matin Dans l'église qui roupille Raide comme une saillie Blanc comme un cierge de Pâques Et puis qui balbutie Et qui a l'œil qui divague Faut vous dire, Monsieur Que chez ces gens-là On ne pense pas, Monsieur On ne pense pas, on prie Et puis, y a l'autre Des carottes dans les cheveux Qu'a jamais vu un peigne Qu'est méchant comme une teigne Même qu'il donnerait sa chemise A des pauvres gens heureux Qui a marié la Denise Une fille de la ville Enfin d'une autre ville Et que c'est pas fini Qui fait ses p'tites affaires Avec son p'tit chapeau Avec son p'tit manteau Avec sa p'tite auto Qu'aimerait bien avoir l'air Mais qui a pas l'air du tout Faut pas jouer les riches Quand on n'a pas le sou Faut vous dire, Monsieur Que chez ces gens-là On n'vit pas, Monsieur On n'vit pas, on triche Et puis, il y a les autres La mère qui ne dit rien Ou bien n'importe quoi Et du soir au matin Sous sa belle gueule d'apôtre Et dans son cadre en bois Y a la moustache du père Qui est mort d'une glissade Et qui r'garde son troupeau Bouffer la soupe froide Et ça fait des grands flchss Et ça fait des grands flchss Et puis y a la toute vieille Qu'en finit pas d'vibrer Et qu'on attend qu'elle crève Vu qu'c'est elle qu'a l'oseille Et qu'on n'écoute même pas C'que ses pauvres mains racontent Faut vous dire, Monsieur Que chez ces gens-là On n'cause pas, Monsieur On n'cause pas, on compte Et puis et puis Et puis il y a Frida Qui est belle comme un soleil Et qui m'aime pareil Que moi j'aime Frida Même qu'on se dit souvent Qu'on aura une maison Avec des tas de fenêtres Avec presque pas de murs Et qu'on vivra dedans Et qu'il fera bon y être Et que si c'est pas sûr C'est quand même peut-être Parce que les autres veulent pas Parce que les autres veulent pas Les autres ils disent comme ça Qu'elle est trop belle pour moi Que je suis tout juste bon A égorger les chats J'ai jamais tué de chats Ou alors y a longtemps Ou bien j'ai oublié Ou ils sentaient pas bon Enfin ils ne veulent pas Parfois quand on se voit Semblant que c'est pas exprès Avec ses yeux mouillants Elle dit qu'elle partira Elle dit qu'elle me suivra Alors pour un instant Pour un instant seulement Alors moi je la crois, Monsieur Pour un instant Pour un instant seulement Parce que chez ces gens-là Monsieur, on ne s'en va pas On ne s'en va pas, Monsieur On ne s'en va pas Mais il est tard, Monsieur Il faut que je rentre chez moi. Chanson sans paroles Paroles et Musique: J. Brel/F Rauber 1962 J'aurais aimé ma belle T'écrire une chanson Sur cette mélodie Rencontrée une nuit J'aurais aimé ma belle Rien qu'au point d'Alençon T'écrire un long poème T'écrire un long "je t'aime" Je t'aurais dit "amour" Je t'aurais dit "toujours" Mais de mille façons Mais par mille détours Je t'aurais dit "partons" Je t'aurais dit "brûlons Brûlons de jour en jour De saisons en saisons" Mais le temps que s'allume L'idée sur le papier Le temps de prendre une plume Le temps de la tailler Mais le temps de me dire: "Comment vais-je l'écrire?" Et le temps est venu Où tu ne m'aimais plus Clara Paroles et Musique: Jacques Brel 1961 Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux toujours danser Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris Il y a longtemps déjà Il y a longtemps d'ennui Il y a longtemps de toi Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux toujours chanter Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris Tombé au champ d'amour Pour un prénom de fille Qui m'avait dit toujours Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux toujours tourner Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris De m'être trop trompé De m'être trop meurtri De m'être trop donné Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux me bousculer Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris Fusillé par une fleur Au poteau de son lit De douze rires dans le cœur Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux toujours crier Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris Il y a mille soirs Il y a mille nuits Il n'y a plus d'espoir Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux bien me saouler Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris A Paris que j'enterre Et depuis mille nuits Dans le fond de mon verre Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Carnaval à Rio Tu peux carnavaler Carnaval à Rio Tu n'y peux rien changer Je suis mort à Paris Que la mort me console La mort est par ici La mort est espagnole Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Je t'aimais tant, Clara Je t'aimais tant Comment tuer l'amant de sa femme… Paroles et Musique: J. Brel/G. Jouannest 1968 note: Titre exact: "Comment tuer l'amant de sa femme quand on a été élevé comme moi dans la tradition" Comment tuer l'amant de sa femme Quand on a été comme moi élevé Dans les traditions? Comment tuer l'amant de sa femme Quand on a été comme moi élevé Dans la religion? Il me faudrait du temps Et du temps j'en ai pas. Pour elle je travaille tout l'temps La nuit je veille de nuit Le jour je veille de jour Le dimanche je fais des extras. Et même si j'étais moins lâche Je touve que ce serait dommage De salir ma réputation. Bien sûr je dors dans le garage. Bien sûr il dort dans mon lit. Bien sûr c'est moi qui fait l'ménage. Mais qui n'a pas ses p'tits soucis? Comment tuer l'amant de sa femme Quand on a été comme moi élevé Dans les traditions? Il y a l'arsenic, ouais C'est trop long. Il y a le révolver Mais c'est trop court. Il y a l'amitié C'est trop cher. Il y a le mépris C'est un péché. Comment tuer l'amant d'sa femme Quand on a reçu comme moi La croix d'honneur Chez les bonnes sœurs? Comment tuer l'amant d'sa femme Moi qui n'ose même pas Le lui dire avec des fleurs? Comme je n'ai pas l'courage De l'insulter tout l'temps Il dit que l'amour me rend lâche. Comme il est en chômage Il dit en me frappant Que l'amour le rend imprévoyant. Il croit que c'est amusant Pour un homme qui a mon âge Qui n'a plus de femme et onze enfants. Bien sûr je leur fais la cuisine Je bats les chiens et les tapis Le soir je leur chante "Nuit de Chine". Mais qui n'a pas ses p'tits soucis? Pourquoi tuer l'amant d'sa femme Puisque c'est à cause de moi Qu'il est un peu vérolé? Pourquoi tuer l'amant d'ma femme Puisque c'est à cause de moi Qu'il est pénicilliné? De burgerij (Les Bourgeois) Paroles: Jacques Brel, adap: Ernst van Altena. |
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